
Je veux faire du cinéma est une autopsie sans concession du milieu du 7e art en Europe. Sans langue de bois, Frédéric Sojcher dévoile les travers d’un « système » où les films sont financés avec un mélange d’argent public et privé, à coups de petits arrangements et de jugements péremptoires.
Réaliser un long métrage s’apparente au parcours du combattant. L’histoire des tournages est romanesque et ressemble à un thriller. Le bûcher des vanités préside à la production des films. Ne pas perdre la foi relève du sacerdoce.
Avec des portraits au vitriol, mais aussi une bonne dose d’autodérision, Frédéric Sojcher écrit un manuel de survie en terrain hostile. Après avoir lu son livre, il sera impossible au lecteur de porter le même regard sur le cinéma.
« … Dans son livre, Frédéric Sojcher éclaire précisément l’envers du décor, ce délitement d’un métier qui ne sait plus à quel saint se vouer ni reconnaître un bon film d’un mauvais, et encore moins se douter de ce qui va plaire au public ou non… »
Antoine de Baecque
Auteur(s): Sojcher, Frédéric
Editeur: Genèse édition
Collection: Les poches belges
Année de Publication: 2021
pages: 184
Langue: lang_fr
ISBN: 979-10-94689-75-2
Je veux faire du cinéma est une autopsie sans concession du milieu du 7e art en Europe. Sans langue de bois, Frédéric Sojcher dévoile les travers d’un « système » où les films sont financés avec un mélange d’argent public et privé, à coups de petits arrangements et de jugements péremptoires.
Réaliser un long métrage s’apparente au parcours du combattant. L’histoire des tournages est romanesque et ressemble à un thriller. Le bûcher des vanités préside à la production des films. Ne pas perdre la foi relève du sacerdoce.
Avec des portraits au vitriol, mais aussi une bonne dose d’autodérision, Frédéric Sojcher écrit un manuel de survie en terrain hostile. Après avoir lu son livre, il sera impossible au lecteur de porter le même regard sur le cinéma.
« … Dans son livre, Frédéric Sojcher éclaire précisément l’envers du décor, ce délitement d’un métier qui ne sait plus à quel saint se vouer ni reconnaître un bon film d’un mauvais, et encore moins se douter de ce qui va plaire au public ou non… »
Antoine de Baecque